Programme
Lundi 18 septembre :
11h30 : "Le bonheur d'Alexandre" (57')
13h30 : "Les idiots" (117')
16h00 : "Exils" (104')
18h45 : Présentation des invités et du film
19h00 : "Le bonheur d'Alexandre" (57')
20h00 : Débat
Mardi 19 septembre :
11h00 : "L'esquive" (117')
13h45 : "Crash" (Collision) (112')
16h15 : "Battle royal" (113')
19h00 : Présentation des invités et du film
19h15 : "L’Esquive" (117')
21h15 : Débat
Mercredi 20 septembre :
11h00 : "Oasis" (132')
14h15 : "La Promesse" (90')
16h15 : "Nationale 7" (91')
18h30 : Présentation des invités et du film
18h45 : "Oasis" (132')
21h00 : Débat
Synopsis
Deux voleurs de voitures. Un serrurier mexicain. Deux
inspecteurs de police qui sont aussi amants. Une femme au foyer et son mari,
district attorney. Tous vivent à Los Angeles. Eux et beaucoup d'autres ne se
connaissent pas, leurs vies n'auraient jamais dû se croiser. Pourtant, dans
les prochaines 36 heures, leurs destins vont se rencontrer, révélant ce que
chacun voulait cacher ou ne pas voir...
· Les idiots de Lars van Trier, 1998,
Danemark
Les Idiots, ou Dogma 2, nous met en présence d'un groupe anarchiste et
contestataire qui vit en communauté et dont les activités consistent à
confronter et provoquer leur entourage par des sorties publiques où ils
simulent des handicaps physiques et mentaux ainsi que des comportements
rattachés à ce qu'ils appellent "l'idiotie". Le groupe, en réaction face à
une société qu'ils jugent bourgeoise et réactionnaire, cultivent leur "idiot
intérieur", attitude problématique qui consiste à retrouver un comportement
naïf et béat dégagé du fardeau de conventions et des rôles préétablis
qu'impose la société.
· Oasis de Lee Chang-Dong, 2002, République de Corée
A peine sorti de prison, Jong-du, un délinquant récidiviste se retrouve
au poste de police. Sa famille paie sa caution et le ramène à la maison.
Voulant rendre visite à la famille de la victime, il aperçoit Gong-Ju.
Bien que paralysée cérébrale, celle-ci est abandonnée par son frère, qui
déménage en la laissant seule dans un modeste appartement, sous la
surveillance de voisins. Fasciné par la jeune handicapée, Jong-Du lui rend
visite en cachette...
· Le bonheur d’Alexandre de Joël Calmettes, France
Alexandre Jollien est né en Suisse en 1975
avec un handicap moteur cérébral. Aujourd'hui écrivain et philosophe, il a
publié deux livres "Eloge de la faiblesse" (CERF, 1999) et "Le métier
d'homme" (Le Seuil, 2002).
Pendant plus d’un an et demi, Joël Calmettes est allé à sa rencontre.
Jalonné par les étapes de la découverte d’une personnalité et d’un parcours
hors du commun, le film fait notamment écho à l’une des réflexions
d’Alexandre Jollien : « Je crois qu'une des chances de ma vie c'est de
m'être senti comme faible et de cheminer vers plus de progrès. »
En résulte le portrait, joyeux, d’un homme singulier dont l’attitude et la
parole sont riches d’enseignements.
· Battle royal de Kinji Fukasaku, 2000, Japon
Une classe d'écoliers est choisie pour se rendre sur
une île pour se soumettre à la Loi de réforme de l'éducation pour le nouveau
siècle. Le but du jeu ? Sur les quarante étudiants, un seul doit survivre. À
lui d'assassiner ses camarades pour s'en sortir. D'une violence extrême,
Battle Royale traite du non-respect des jeunes pour leurs aînés et d'une
société qui sombre dans le chaos. D'un côté ou de l'autre, tout va à la
dérive. Accompagné d'un humour très noir, le film nous montre la panique de
ces jeunes armés jusqu'aux dents qui doivent tuer leurs amis. Il illustre
également le côté sombre des hommes, notamment grâce à cette écolière prête
à tout pour gagner.
· Exils de Tony Gatlif, 2004, France, Japon
Deux enfants d’exilés, Naïma et Zano traversent la vie sans horizon, ne
cherchant que le plaisir immédiat souvent brutal et toujours éphémère. Entre
eux le sexe est âpre, le lien sans concession. Ce sont deux exilés dans leur
propre ville et plus encore dans leur propre existence.
Ils décident de filer droit vers le Sud : le sud de la France, l’Andalousie,
le Maroc, l’Algérie – terre où se mêlent leurs origines lointaines.
Rythmé par les battements du cœur et de la musique, au hasard des lieux et
des rencontres, ce voyage les réconciliera avec les autres et peut être
aussi avec eux-mêmes.
· Nationale 7 de Jean-Pierre Sinapi, 2000,
France
Jeune éducatrice spécialisée, Julie (Nadia Kaci) vient d'être engagée
dans un foyer pour handicapés moteurs. On s'empresse de lui confier René
(Olivier Gourmet), myopathe au caractère acariâtre et irascible. Contre
toute attente, Julie parvient à s'imposer auprès de René dont elle finit par
percer le secret : il voudrait faire l'amour avec une femme avant d'être
définitivement rattrapé par sa maladie évolutive... Touchée par sa détresse,
Julie décide de partir à la recherche d'une prostituée, le long de la
Nationale 7...
· La Promesse de Luc et Jean-Pierre Dardenne, 1996, Belgique
En Belgique, Igor, un jeune adolescent, seconde son père, Roger, dans
l'exploitation de la main d'oeuvre émigrée clandestine tout en continuant
d'avoir des activités liées à l'enfance (la construction d'un go-kart avec
deux copains). Pour Igor la participation aux combines de son père fait
partie d'un ordre naturel des choses. Le mal dans son 'innocence'... Cette
'innocence', il la perdra brutalement le jour où avec Roger et sur ses
ordres, ils laissent mourir Hamidou, un émigré africain, tombé
accidentellement d'un échafaudage. Avant de mourir, Hamidou a demandé à Igor
de promettre qu'il protégerait sa femme et son fils, Assita et Seydou. 'La
Promesse' dépeint avec réalisme le milieu de l'émigration clandestine.
Tourné comme un document vérité, le film décrit également l'initiation à la
conscience morale d'un garçon de quinze ans face à son père.
· L'esquive de Abdellatif Kechiche, 2002, France
Abdelkrim, dit Krimo, quinze ans, vit dans une cité HLM de la banlieue
parisienne. Il partage avec sa mère, employée dans un supermarché, et son
père, en prison, un grand rêve fragile : partir sur un voilier au bout du
monde. En attendant, il traîne son ennui dans un quotidien banal de cité, en
compagnie de son meilleur ami, Eric, et de leur bande de copains. C'est le
printemps et Krimo tombe sous le charme de sa copine de classe Lydia, une
pipelette vive et malicieuse... Il va tenter de sa rapprocher de la jeune
blonde en s'engageant pour jouer dans une pièce de théâtre avec elle.
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Le 20 septembre j'ai assisté aux trois premiers films à savoir:
2) La promesse
1) Oasis 2) La promesse 3) Nationale 7 Ce sont des films qui font réfléchir et prendre conscience de beaucoup de choses. Dommage qu'il y avait si peu de monde. Mais comme ce n'était qu'une première édition ce n'est pas connu. J'espère qu'il y aura des prochaines éditions et que ce
1) Oasis 2) La promesse 3) Nationale 7 Dommage qu'il n'y avait pas plus de monde aux séances car ce sont des films qui font prendre conscience de beaucoup de choses. Mais c'était une première édition et peut-être pas assez de publicité autour. Espérons qu'il y aura d'autres éditions. Moi c'est par Handiplus que j'ai pris connaissance du festival. Après je l'ai retrouvé tout à fait par hasard en allant sur le site: http://www.etterbeek.be
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